Michael Jack­son : les révé­la­tions choquantes de ses anciennes femmes de ménage

Michael Jack­son : les révé­la­tions choquantes de ses anciennes femmes de ménageLes anciennes femmes de ménage de Michael Jack­son ont long­temps gardé pour elles les révé­la­tions sur Never­land qu’elles viennent de confier à la presse. On comprend pourquoi si elles disent vrai…

Alors que Never­land, le ranch de Michael Jack­son, vient d’être mis en vente, cinq anciennes femmes de ménage du King of Pop viennent de se confier au New York Post, et révèlent des infor­ma­tions qui pour­raient bien faire bais­ser la valeur du manoir…

En effet, les confes­sions des employées dessinent un tableau noir de Never­land, mais aussi d’un Michael Jack­son non loin de la folie. Dans ce cadre idyl­lique, le chan­teur avait de sérieux problèmes d’hy­giène : « Michael allait voir les animaux [présents sur le ranch] et il rame­nait… des déjec­tions et s’en fichait. Et si vous lui faisiez remarquer, il menaçait d’en faire des “boules de neige” et de vous les jeter dessus », raconte la première des femmes de ménage.

Une seconde raconte qu’en 1993, après une visite d’Oprah Winfrey et d’Eliza­beth Taylor, Michael a « litté­ra­le­ment uriné sur le sol du hall d’en­trée, juste là où Oprah venait de passer ». « C’était surréa­liste. Il s’est juste planté là, a défait son panta­lon et inondé le sol », explique-t-elle.

La troi­sième femme de ménage fait le lien entre la date de cette anec­dote et celle des premières accu­sa­tions publiques d’abus sur mineurs contre le chan­teur, qui avaient poussé Michael en rehab, et l’avait délesté de 20 millions de dollars pour mettre fin à l’af­faire. « Toute sa vie a changé après 1993 quand il a dû payer le garçon. Je vous dis, c’était la personne la plus sale, la moins hygié­nique d’Hol­ly­wood. »

L’em­ployée anonyme conti­nue de peindre son terrible tableau : « Michael était un drogué dépravé », qui lais­sait Robson et Safe­chuck, deux adoles­cents qui l’ac­cu­se­raient plus tard, et Macau­lay Culkin, entre autres, mettre le bazar dans Never­land. Les draps du chan­teur, qui portaient les traces de leurs combats de nour­ri­tures n’étaient jamais chan­gés sur ordre de Michael Jack­son : « Il y a eu de nombreuses fois où j’ai dû rentrer en douce pour chan­ger ses draps. Je ne pouvais pas comprendre comment il dormait dans une telle saleté », raconte la seconde femme de ménage, évoquant « des sous-vête­ments, un poulet à demi-mangé, des chips et des bouteilles vides » dans le lit et sur le sol de la chambre. « L’en­droit sentait extrê­me­ment mauvais », explique-t-elle.

Le seul endroit propre de la chambre était le placard où se trou­vaient son smoking noir, ses mocas­sins et ses vestes à sequins, un para­doxe incroyable lorsqu’on sait que le chan­teur de Thriller était selon le récit d’une des femmes de ménage parti­cu­liè­re­ment atta­ché à « une couche de bébé sale et à un caleçon porté par quelqu’un qui était sans aucun doute un ado ou un jeune adulte ».

Ces révé­la­tions, qui s’ajoutent au récit d’une haine farouche (sans que l’on sache pourquoi) des fonda­teurs du studio Dream­works, dont Steven Spiel­berg, et des frères du chan­teur (« Ils ne méritent pas d’uti­li­ser mon nom (…). Je suis la seule star. Ils devraient cirer mes pompes »), ne laissent pas de doute : soit ses ex-employées sont des affa­bu­la­trices, soit les problèmes de Michael Jack­son ont été trop long­temps sous-esti­més et igno­rés…

 

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