« Je n’ai rien contre le ministre. Mais quand un ministre est désavoué par la justice en général, il démissionne. En tout cas, en Europe c’est comme ça. Il faut immédiatement renoncer à cette résolution. Il faut de la force au droit, il faut que force reste à la loi », a expliqué Me El Hadj Diouf.
Pour le l’avocat et responsable de parti politique, le vote de la résolution de soutien signifierait que l’Assemblée nationale se rebelle contre une décision de justice. « Aujourd’hui, c’est comme si on est dans une Assemblée rebelle par rapport à la décision de justice revêtue de l’autorité de la chose jugée. »