Ndèye Mbacké avait renforcé l’aura du ministre libéral Me Madické, en devant sa deuxième épouse. Mais le mentor de celui-ci, Me Wade, défait, elle le laissera tomber et s’engagera politiquement derrière le tombeur de celui-ci, sans regret puisque devenue « sur-liquide ». Récemment outre sa campagne pour le « Oui » au référendum, elle avait également dit « Oui » à un homme d’affaires, le 8 mars dernier : journée mondiale de la Femme. Ils avaient même promis de financer bien de groupements féminins de Thiès, que Sokhna Ndèye appuie. Mais c’est à se demander si ce monsieur Haïdid, malgré son nom qui sonne libano-syrien, voire somalien, n’était pas un adepte de ce que Ahmet Khalifa Niass appelle le »Niam-mouthie » ; à savoir épouser, découvrir et divorcer. Car, si les images rapportées par nos satellites s’avèrent exactes, le couple a bien fini par se dire « Non ». La séparation serait quand même bien gérée pour ne pas nuire à l’image de la Mbacké-Mbacké et non moins responsable politique. Le cas échant, on ne pourra que se demander si Me Madické ne détient pas un « ndombo », qui lui permet de casser les unions qu’il n’approuve pas sur ses ex. Le cas échéant, il faudra également prier pour que celui qui avait dit « Oui » à Ndèye ne soit pas du genre à déballer. Nos satellites balayent entre Dakar et Thiès, où Sokhna Ndèye est adjointe au maire depuis 2014, pour en savoir davantage, d’ici l’après référendum. Si nos informations sont exactes c’est Talla Sylla qui va devoir déchirer le papier qu’il n’avait pas encore signé, en sa qualité de maire de Thiès.