Des agents et pas des moindres qui travaillent à Terrou-Bi passent un sale temps à l’hôtel Terrou-Bi. Selon une source digne de foi, une dizaine de cadre supérieur se sont retrouvés à la fin du mois de mars avec moins de 50 000 francs Cfa. La cause, c’est la pression et le harcèlement qu’ils subissent dans l’exercice de leur fonction leur obligeant ainsi à quitter l’hôtel.
En effet, la nouvelle direction a établi des horaires de 10 heures par jour du fait du sous-effectif, soit 2 heures de plus aux 8 heures qui étaient admises par l’ancienne direction.
Ainsi, ces cadres qui occupaient des fonctions à la réception, à la direction des ressources humaines, au service clientèle ont été mis à pied et ont vu leur salaire réduit sous forme de sanction.