Maitre de cérémonie de la séance inaugurale du 29ème congrès de la Conférence internationale des barreaux (CIB). Me Leyti Ndiaye explique que Sandrine Ferrera était une jeune Cap-Verdienne « très charmante » et « belle » qu’ils ont connue en 1987, alors qu’ils étaient pensionnaires au Pavillon H du campus universitaire. Le hic étant que le quatuor d’amis n’a pu résister aux charmes de Sandrine qu’ils voulaient tous draguer. « On s’est dit, comme nous ne pouvions pas nous la partager et que personne n’était prêt à renoncer, alors nous nous sommes neutralisés », a narré Me Ndiaye, qui a plongé la salle dans l’hilarité. Seulement, cette version était loin de satisfaire ses confrères qui l’ont accusé d’avoir censuré une partie de l’histoire. Plus tard, à la pause, certains lui ont fait remarquer que certainement un membre de la bande avait dû transgresser le code d’honneur. Qui par exemple ? Nous donnons notre langue au chat.