La célébration de l’Aid el kébir (tabaski) ce samedi 02 août, un moment de communion et de pardon, a été l’occasion pour le chef de l’Etat de s’adresser à ses détracteurs. De l’emprisonnement Khalifa Sall qui lui vaut des critiques, à l’interpellation d’Assane Diouf, Macky Sall dit avoir accordé son pardon à tout le monde. «J’ai pardonné à tous ceux qui m’ont offensé. Le pardon est l’une des valeurs, des qualités qu’un musulman doit cultiver.
Et souvent il est plus facile lorsqu’on exerce la puissance publique, de régler un certain nombre de problèmes. Mais le pardon nécessite le courage et la générosité. Et je considère parfois, que tant que c’est ma personne, je peux pardonner», consent-il, dans le quotidien Vox Populi de ce lundi 4 septembre 2017. En revanche, s’empresse-t-il de préciser : «on ne peut pas confondre le président de la République et la loi. Ce sont deux choses différentes, et il ne faut pas qu’il y ait de la confusion là-dessus».
Et souvent il est plus facile lorsqu’on exerce la puissance publique, de régler un certain nombre de problèmes. Mais le pardon nécessite le courage et la générosité. Et je considère parfois, que tant que c’est ma personne, je peux pardonner», consent-il, dans le quotidien Vox Populi de ce lundi 4 septembre 2017. En revanche, s’empresse-t-il de préciser : «on ne peut pas confondre le président de la République et la loi. Ce sont deux choses différentes, et il ne faut pas qu’il y ait de la confusion là-dessus».