L’insulteur national, Assane Diouf, est loin d’humer l’air de la liberté. En effet, après le rejet de sa première demande de liberté provisoire qu’il avait déposée sur la table du juge d’instruction, cette fois ci c’est autour de la chambre d’accusation de la cour d’appel de lui opposer un niet catégorique, rapporte vox populi dans son édition du jour.
Assane Diouf qui a été écroué depuis novembre 2017 pour injures, outrage, diffamation et trouble à l’ordre public, va devoir garder son mal en patience jusqu’au 6mars prochain, jour de son interrogatoire au fond devant le juge.
XALIMANEWS