Il était surnommé l’insulteur public numéro 1. Après un premier élargissement de prison, Assane Diouf, puisque c’est de lui qu’il s’agit, s’était calmé, avant de reprendre service. Cueilli à son domicile de Guédiawaye, en juin dernier, et placé sous mandat de dépôt, il ne cesse de faire des demandes de liberté provisoire.
Sa dernière requête dans ce sens déposée par son avocat Me Ciré Clédor Ly a été rejetée lundi dernier. L’ordonnance de refus a automatiquement fait l’objet d’un appel devant la Chambre d’accusation.