Procès, lourdes peines de prison, harcèlement sur les réseaux sociaux, licenciements abusifs,menaces de retraits… Tous les moyens sont bons pour tenter de faire taire les journalistes de la pressec en ligne.
Apres les recentes interppellations notées au Sénégal et les menaces ouvertes du procureur Serigne Bassirou Gueye,contre les administrateurs de site d’informations,la redaction de Sanslimitesn.com a décider de revenir sur la politique du gouverment Macky concernant la presse en ligne au Sénégal.
Meme si la période noire des assassinats semble révolue (assasinats et tortures de journalistes), aujourd’hui la répression est en voie d’etre institutionnalisée au Sénégal: lois liberticides, attribution de la quasi-totalité des marchés publicitaires aux médias favorables au gouvernement, domination de ce dernier sur l’organe de régulation de l’audiovisuel, amendes destinées à étrangler financièrement les récalcitrants et à les faire passer sous le contrôle de conglomérats proches du pouvoir. Ainsi, en 2017, une code de la presse taillée sur piece pour reduire les journalistes en ligne a été voté avec la clé des sanctions et amendes ahuriisantes qui cachent une volonté de vouloir mettre sous le paillasson la plupart des entreprises de presseen ligne au Sénégal.
Un niveau tolérance incroyable concernant «les commentaires sur le président »
Depuis quelques mois, la mode est aux raids policiers sur les médias jugés anti-APR ou anti Sall, que certains tenants du pouvoir assimilent à une opposition passive car elle ose prendre ses propres positions pendant que l’autre partie a preferée sourir aux sirenes du pouvoir. « Je suis l’une des victimes de ce régime clame le rédacteur en chef de de ce site edinformation que Sanslimitesn.com a contacté. En qualifiant d’insultes au président,des commentaires sur notre site,un ministre nous a fait savoir que desormais nous ne beneficierons plus de l’aide à la presse et que notre dossier serait sur la table du procureur.
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