Selon une information désormais avérée mais révélée par nos confrères de la presse écrite, précisément Libération, il est établi que l’hôtel « Terrou bi » a été épinglé en flagrant délit de non-respect des textes concernant les données personnelles de leurs client.
Tous, ou en tout cas la plupart seraient mis sous écoute téléphonique et, peut-être aussi sous vidéo-surveillance.
Il s’y ajoute, selon les sources de dakarposte, que les employés de l’hôtel ne remplissent pas toutes les fiches d’identification des clients nationaux, un acte pourtant obligatoire selon la loi -ce qui nous a été confirmé par des sources très au fait de la législation en la matière.
Si la Commission de protection des données personnelles (CDP) a fini par épingler la famille Rahal, des sénégalo-libanais propriétaires de l’établissement, c’est bien parce qu’elle a procédé à des enquêtes et décidé, par délibération, d’émettre des avis, des recommandations ou des récriminations.
Pour ce qui concerne Terrou bi, il s’agit plutôt, de l’avis de cet habitué de l’établissement hôtelier rencontré ce jeudi matin , de récriminations et, plus grave, d’accusation de diffusion organisée de données personnelles.
Ce grand groupe hôtelier accueille quotidiennement des dizaines de personnalités de la République et des centaines de milliardaires anonymes par année mais, ses propriétaires s’exemptent de l’obligation de protéger l’intimité de leurs clients lorsqu’ils sont dans leurs chambres louées à coup de centaines de mille de nos pauvres francs.
C’est un scandale et le fait mérite d’être porté à la connaissance de tous les Sénégalais, surtout qu’il a été dénoncé par l’autorité compétente en la matière qui avait émis un avis défavorable à une requête que lui avait adressée les Rahal.
Il s’y ajoute, selon les sources de dakarposte, que les employés de l’hôtel ne remplissent pas toutes les fiches d’identification des clients nationaux, un acte pourtant obligatoire selon la loi -ce qui nous a été confirmé par des sources très au fait de la législation en la matière.
Si la Commission de protection des données personnelles (CDP) a fini par épingler la famille Rahal, des sénégalo-libanais propriétaires de l’établissement, c’est bien parce qu’elle a procédé à des enquêtes et décidé, par délibération, d’émettre des avis, des recommandations ou des récriminations.
Pour ce qui concerne Terrou bi, il s’agit plutôt, de l’avis de cet habitué de l’établissement hôtelier rencontré ce jeudi matin , de récriminations et, plus grave, d’accusation de diffusion organisée de données personnelles.
Ce grand groupe hôtelier accueille quotidiennement des dizaines de personnalités de la République et des centaines de milliardaires anonymes par année mais, ses propriétaires s’exemptent de l’obligation de protéger l’intimité de leurs clients lorsqu’ils sont dans leurs chambres louées à coup de centaines de mille de nos pauvres francs.
C’est un scandale et le fait mérite d’être porté à la connaissance de tous les Sénégalais, surtout qu’il a été dénoncé par l’autorité compétente en la matière qui avait émis un avis défavorable à une requête que lui avait adressée les Rahal.
Si les Rahal persistent et signent cela voudrait-il dire que cette famille est sous une protection d’en haut lieu ?
Il appartient donc à l’Etat du Sénégal de répondre et d’agir sur ce qu’il est convenu d’appeler « le cas du Terrou Bi ». À moins que…
