Les raisons de son divorce avec son footballeur de mari : Marie Louise Diaw crève labcès

ANNIVERSAIRE DE MARIE LOUISE DIAW: L’ALCOOL A COULÉ À FLOT AVEC DES BOUTEILLES DE CHAMPAGNE À200.000 FCFA

Marie Louise Adama Diaw a quitté son foyer après seulement 6 mois de vie commune avec son ex-époux, un footballeur sénégalais qui évolue au Qatar. Leurs humeurs étaient incompatibles. En plus de cela, sa coépouse ne lui facilitait pas les choses.

Première dauphine de Miss Dakar 2012, Marie Louise Adama Diaw a été arrachée des mains du mannequinat par un footballeur sénégalais qui évolue dans le championnat qatari. Sans attendre, il fera d’elle son épouse. Mais contrairement aux attentes du mannequin, ce mariage ne se révélera une source de bonheur. Elle ne se fera pas prier pour quitter son mari au bout de 6 mois de vie commune. « Mon ex était quelqu’un de gentil mais nos personnalités n’étaient malheureusement pas compatibles. Je me suis rendue compte que nous n’étions pas faits pour vivre ensemble et nous avons préféré de suivre chacun son chemin », s’explique Marie Louise dans les colonnes de l’Observateur parcouru par buzz.sn.

A ces raisons, s’ajoutait la violence périodique de son ex. A l’en croire, ce dernier n’hésitait pas à lever la main sur elle de temps en temps en dehors du fait qu’il était « jaloux et possessif ». Mais la goûte d’eau qui a vraiment fait déborder le vase, renseigne-t-elle, c’est sa coépouse qui lui aurait mené la vie dure. « Elle n’a pas supporté d’avoir une rivale en ma personne et me l’a fait sentir. J’avais l’impression de livrer une bataille sans merci, en plus des problèmes que j’avais avec mon époux. Ils étaient deux contre moi et je n’ai pas fait le poids. J’ai préféré rentrer chez ma mère pour ne pas avoir à endurer certaines choses », martèle-t-elle.

Ce passé récent et douloureux rangé dans les tiroirs, Marie Louise qui a eu dans ce mariage une fille, compte bien rebondir mais pas de sitôt. « Même si cela n’a pas marché la première fois, je prie Dieu pour trouver le bon mari. Quelqu’un avec qui je finirai mes jours, qui me comprendra et qui sera patient », souhaite-t-elle vivement. Rien ne sert de courir, il faut partir à point nommé…

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