Le gouvernement a réagi suite aux informations du classement défavorable du Sénégal au 25èmerang des pays les plus pauvres, avec un PIB par habitant de 934,6 dollars en 2015 contre 1079 dollars en 2014.
Les chiffres à mi-mandat affirme le ministre Seydou Guèye, confirment que notre pays est sur la bonne voie, grâce notamment à la mise en œuvre effective du Plan Sénégal Emergent. « Ainsi, la croissance du PIB en termes réels est passée de 1,8% en 2011 à 4,4% en 2012 ; puis à 3,5% en 2013 et à 4,7% en 2014, dans un contexte de réduction significative du déficit public de 6,7% du PIB en 2011 à 5,1% en 2014. Ce regain de dynamisme reflète l’amélioration de la production dans le sous-secteur agricole, la relance des industries chimiques et du sucre, mais également le dynamisme des cimenteries, des BTP, de l’énergie, des télécommunications et des services financiers ».
Pour l’année 2015, dira Seydou Guèye, la relance de l’économie sénégalaise se consolide comme en témoignent les développements conjoncturels récents favorables avec une croissance du PIB trimestriel de 4,6 % au premier trimestre et de 5,1 % au deuxième trimestre. « Globalement sur l’année 2015, la croissance se situerait au-dessus de 5%, portée, notamment, par la bonne tenue du sous-secteur agricole, des industries chimiques, du raffinage de pétrole, des cimenteries, de la construction, de l’énergie et des services ».
Par ailleurs, relève t-il, le PIB par tête permet plutôt de classer les pays selon la production de richesse. Or, la croissance seule ne suffit pas pour atteindre les objectifs de développement.
En définitive, dira t-il, l’économie sénégalaise est sur une bonne trajectoire de croissance avec un taux attendu à plus de 5% en 2015 et projeté à 6% en 2016, ce qui fera de notre pays, l’une des économies les plus dynamiques, qui s’éloigne de la pauvreté, d’année en année, grâce au Plan Sénégal Emergent.
Selon le Ministre auprès du Premier Ministre et Porte-parole du Gouvernement Seydou Guèye, d’abord « il y a lieu de rappeler qu’au début des années 2010, certains spécialistes avaient souligné que la hausse du PIB par tête était liée à la dépréciation du dollar par rapport à l’euro.
Entre 2014 et 2015, le taux de change du dollar est passé, d’une moyenne de 494 FCFA à 588 FCFA, soit une appréciation de 19,2%. Cette forte appréciation du dollar par rapport à l’euro, monnaie à laquelle le FCFA est arrimé, fait que notre PIB nominal par habitant, exprimé en dollar courant, baisse, même s’il a augmenté très fortement en franc CFA ».
A cet égard, dira-t-il dans un communiqué reçu de ses services, « il faut noter que le PIB par tête est passé de 553.849 FCFA en 2014 à 567.758 FCFA en 2015, soit une progression de 2,5%. Dès lors, la vraie appréciation des performances de notre économie doit s’appuyer sur des données en monnaie locale ».
C’est pourquoi, selon le porte-parole du Gouvernement « pour annihiler l’impact du taux de change dans le calcul du PIB par habitant, il est plus pertinent de prendre en considération le PIB par habitant en parité pouvoir d’achat (PPA), une autre variable économique que le FMI a également calculée et publiée dans le tableau, pour laquelle les performances du Sénégal sont largement plus favorables ». « En réalité, le PIB en parité pouvoir d’achat (PPA) démontre une nette progression du Sénégal dont le taux de croissance réel devrait se situer à 2.1%, ce qui nous place en milieu de tableau devant des pays importants, démontrant ainsi que le processus de rattrapage et de convergence de notre économie est en marche. »
Et le ministre de rappeler, que le dernier cadrage macroéconomique arrêté avec le FMI table sur un PIB de 8150 milliards FCFA en 2015 contre 7741 milliards FCFA en 2014, soit un taux de croissance en termes nominaux de 5,3%.
Les chiffres à mi-mandat affirme le ministre Seydou Guèye, confirment que notre pays est sur la bonne voie, grâce notamment à la mise en œuvre effective du Plan Sénégal Emergent. « Ainsi, la croissance du PIB en termes réels est passée de 1,8% en 2011 à 4,4% en 2012 ; puis à 3,5% en 2013 et à 4,7% en 2014, dans un contexte de réduction significative du déficit public de 6,7% du PIB en 2011 à 5,1% en 2014. Ce regain de dynamisme reflète l’amélioration de la production dans le sous-secteur agricole, la relance des industries chimiques et du sucre, mais également le dynamisme des cimenteries, des BTP, de l’énergie, des télécommunications et des services financiers ».
Pour l’année 2015, dira Seydou Guèye, la relance de l’économie sénégalaise se consolide comme en témoignent les développements conjoncturels récents favorables avec une croissance du PIB trimestriel de 4,6 % au premier trimestre et de 5,1 % au deuxième trimestre. « Globalement sur l’année 2015, la croissance se situerait au-dessus de 5%, portée, notamment, par la bonne tenue du sous-secteur agricole, des industries chimiques, du raffinage de pétrole, des cimenteries, de la construction, de l’énergie et des services ».
Par ailleurs, relève t-il, le PIB par tête permet plutôt de classer les pays selon la production de richesse. Or, la croissance seule ne suffit pas pour atteindre les objectifs de développement.
En définitive, dira t-il, l’économie sénégalaise est sur une bonne trajectoire de croissance avec un taux attendu à plus de 5% en 2015 et projeté à 6% en 2016, ce qui fera de notre pays, l’une des économies les plus dynamiques, qui s’éloigne de la pauvreté, d’année en année, grâce au Plan Sénégal Emergent.
Selon le Ministre auprès du Premier Ministre et Porte-parole du Gouvernement Seydou Guèye, d’abord « il y a lieu de rappeler qu’au début des années 2010, certains spécialistes avaient souligné que la hausse du PIB par tête était liée à la dépréciation du dollar par rapport à l’euro.
Entre 2014 et 2015, le taux de change du dollar est passé, d’une moyenne de 494 FCFA à 588 FCFA, soit une appréciation de 19,2%. Cette forte appréciation du dollar par rapport à l’euro, monnaie à laquelle le FCFA est arrimé, fait que notre PIB nominal par habitant, exprimé en dollar courant, baisse, même s’il a augmenté très fortement en franc CFA ».
A cet égard, dira-t-il dans un communiqué reçu de ses services, « il faut noter que le PIB par tête est passé de 553.849 FCFA en 2014 à 567.758 FCFA en 2015, soit une progression de 2,5%. Dès lors, la vraie appréciation des performances de notre économie doit s’appuyer sur des données en monnaie locale ».
C’est pourquoi, selon le porte-parole du Gouvernement « pour annihiler l’impact du taux de change dans le calcul du PIB par habitant, il est plus pertinent de prendre en considération le PIB par habitant en parité pouvoir d’achat (PPA), une autre variable économique que le FMI a également calculée et publiée dans le tableau, pour laquelle les performances du Sénégal sont largement plus favorables ». « En réalité, le PIB en parité pouvoir d’achat (PPA) démontre une nette progression du Sénégal dont le taux de croissance réel devrait se situer à 2.1%, ce qui nous place en milieu de tableau devant des pays importants, démontrant ainsi que le processus de rattrapage et de convergence de notre économie est en marche. »
Et le ministre de rappeler, que le dernier cadrage macroéconomique arrêté avec le FMI table sur un PIB de 8150 milliards FCFA en 2015 contre 7741 milliards FCFA en 2014, soit un taux de croissance en termes nominaux de 5,3%.