Pour rappel, le libéral est jugé pour «manœuvres et actes de nature à compromettre la sécurité publique ou à occasionner des troubles politiques graves, à enfreindre les lois du pays, tenus par voie de presse le 15 mars 2015 à Guédiawaye.
Des faits punis par les articles 80 et 254 du Code pénal». Me Amadou Sall a bénéficié d’une liberté provisoire, après 3 mois de détention préventive.