JAMRA_ALERTE LE MINISTRE DE L’INTÉRIEUR SUR L’INFILTRATION DES ÉLECTIONS MUNICIPALES PAR DES LOBBIES LGBT !
JAMRA ou « l’art de tout enfler » (comme le dit si méchamment un « gratte-papier » qui fait honte à sa noble corporation) avait pourtant ALERTÉ depuis l’année 2008 sur la pernicieuse stratégie mise en œuvre par des LOBBIES LGBT, pour INFILTRER insidieusement les sphères décisionnelles de notre pays, en passant notamment par des « candidatures citoyennes » à des scrutins aux enjeux non-négligeables, fussent-ils de l’envergure des élections locales.
LORS D’UNE TOURNÉE d’informations et de sensibilisation auprès des autorités religieuses sur ce subterfuge mis en œuvre par des lobbies LGBT français, avec pour finalité des intrusions inopportunes dans les stations de décision de notre pays, deux journalistes locaux aux mobiles obscures avaient traité les responsables de JAMRA de « lunatiques » voire « d’obscurantistes » ou de « rentiers de la foi ».
MAIS LA VÉRITÉ ne tarda pas à éclater aux yeux du monde avec les révélations faites par les médias occidentaux (leurs maîtres à penser !). Reprenant, dans leurs éditions des 18, 19 et 20 décembre 2008, les bulletins des médias officiels français, France 24 et l’AFP, la presse occidentale confirma l’existance d’une « pétition internationale pro-lgbt », également nommée « l’Appel des 66 », dont la Secrétaire d’état française aux droits de l’homme, Rama Yade, et l’ambassadeur d’Argentine à l’ONU, Jorges Arguello, étaient les plus actifs propagandistes.
CETTE PÉTITION, qui avait mine de rien réussi à collecter les signatures d’approbation de 66 pays – d’où le nom d »APPEL DES 66 », du nombre de pays signataires de cette initiative (dont 5 pays africains : Guinée-Bissau, Cap-Vert, Gabon, Centrafrique, Iles Maurice), visait à convaincre l’ONU à légiférer à travers une résolution portant DÉPÉNALISATION UNIVERSELLE DE L’HOMOSEXUALITÉ.
N’EÛT ÉTÉ LES FORTES RÉSISTANCES opposées par la Chine, la Russie, l’Arabie Saoudite, le Vatican, entre autres, et surtout la mise en circulation, dans le cercle des pays membres de l’OCI, d’une « contre-pétition » pilotée par la Syrie, tout pays qui rechignerait à légaliser les unions contre-nature courrait le risque d’être OFFICIELLEMENT assimilé par l’Organisation des Nations Unies comme un pays confondu de « violation des droits humains ». Passible de « sanctions onusiennes ».
BIS REPETITA ! Des partenaires de JAMRA viennent de porter à notre attention LA SCANDALEUSE CANDIDATURE d’un « ambassadeur » d’un célèbre RÉSEAU LGBT ITALIEN. Ce membre actif du lobbie gay transalpin, plein aux as, considére sans doute ces présentes élections locales comme un tremplin propice à la poursuite du déroulement de L’AGENDA DE LA PROPAGANDE LGBT OCCIDENTALE au Sénégal.
UNE INACCEPTABLE CANDIDATURE, vraisemblablement commanditée depuis l’Occident, au titre d’une énième tentative d’infiltration des institutions de la République, après l’échec cuisant en décembre 2020, du plan diabolique de LGBTisation du système éducatif sénégalais, concocté par l’UNESCO.
DES LOBBIES OBSCURS semblent s’être jurés d’inféoder dans leur giron satanique ce pays béni où reposent Bamba, Maodo, Baye Niasse, Baye Laye. Et qui ne cesse de les étonner par sa capacité de RÉSISTANCE héroïque face à la vulgarisation planétaire des CONTRE-VALEURS culturelles occidentales. Surtout après qu’ils aient réussi à faire tomber dans leur escarcelle une dizaine de pays africains, dont la République du Cap-Vert, toute proche, et le Gabon, en tant que « cas » le plus récent après le vote du 26 juin 2020 par l’Assemblée nationale gabonaise, confirmée le 29 du même mois par le Sénat, d’une loi portant légalisation de l’homosexualité.
JAMRA DÉNONCE énergiquement l’intrusion de cette candidature suspecte dans ces élections locales décisives, censées offrir aux administrés l’opportunité de porter à la tête de nos collectivités locales des compatriotes dignes d’incarner les légitimes espoirs placés par les populations sur les atouts de l’Acte 3 de la Décentralisation. Dont le cumul des 14 compétences transférées confère davantage de POUVOIRS et de VISIBILITÉ aux élus locaux. Qui ont désormais les coudées plus franches dans la mise en œuvre de la fameuse « coopération décentralisée ». Laquelle leur permet de nouer des partenariats multiformes avec d’autres collectivités territoriales et communales étrangères.
JAMRA VA SAISIR sans délai (preuves à l’appui) les autorités compétentes du Sénégal, notamment le Procureur de la République, le Ministre l’Intérieur et la CENA (Commission électorale nationale autonome) sur le caractère scandaleux de cette candidature, qui a toutes les apparence d’une PROPAGANDE LGBT, en violation de l’article 319 du Code pénal.
UN DANGER POUR LA COHÉSION NATIONALE, eut égard à la vague d’indignation suscitée récemment par la fin de non-recevoir illégalement opposée (en violation de l’article 60 du Règlement intérieur de l’Assemblée) à une proposition de loi ANTI-LGBT déposée sur le Bureau de l’Hémicycle par d’Honorables Représentants du Peuple Sénégalais.
VAILLANT PEUPLE que la tyrannie des lobbies LGBT n’arrive toujours pas à inféoder, en dépit du prosélytisme intempestif et malsain qu’ils véhiculent sournoisement sous nos cieux, par le biais de leurs relais locaux : ces « tubaab yu ñioul » anti-patriotiques.
L’Ong Islamique Jamra rappelle qu’il n’appartient pas aux RÉSEAUX SOCIAUX de faire la police de ces élections municipales et territoriales, relativement à certaines candidatures commanditées depuis l’étranger. Par conséquent, les #SEULS_et_UNIQUES destinataires de nos PREUVES (nom et prénoms du candidat, la localité où il se présente, ses connexions avec les réseaux LGBT italiens, etc) sont les autorités qui ont compétence en matière PÉNALE et ÉLECTORALE, à savoir : le Procureur de la République, le Ministre de l’Intérieur et le président de la CENA (Commission électorale nationale autonome).
JAMRA n’a donc pas besoin d’un « quitus » ou d’un quelconque « satisfecit » des Réseaux sociaux pour DÉPOSER en bonne et due forme SES PLAINTES AUPRÈS DE QUI DE DROIT.
C’est clair ?
Le combat continue.
Les Bureaux exécutifs
De JAMRA et MBAÑ GACCE