Selon lui, « il y a deux catégories : ceux qui acceptent de lutter pour 50 millions et ceux qui savent ce qu’ils valent ». « Si le lutteur juge qu’il peut lutter à ce prix-là, il peut accepter. Si je dois disputer un combat-choc, on devra y mettre le prix. Tout dépend du lutteur qu’on me propose. Si un promoteur me paye le prix du combat qu’il propose, je lutte. Il y a des lutteurs qui acceptent un cachet de 50 millions. Je ne vais jamais dire que 50 millions, ce n’est pas de l’argent. Mais chaque lutteur sait ce qu’il vaut. Je ne sais pas dans quelle catégorie je suis, mais je connais mon prix », fait-il remarquer.