La distorsion au sein de l’opposition est devenue réelle. Alors que les élections locales prévues le 23 janvier prochain s’annoncent en grande pompe, une frange de l’opposition s’est regroupée hier pour bâtir unilatéralement une grande coalition. Une attitude que déplore le Président du mouvement Agir qui fustige la stratégie adoptée par certains responsables politiques qui prennent comme cible son défunt fils.
« Les messages de soutien me vont droit au cœur mais restons concentrés sur le bien que nous devons produire et laissons aux êtres maléfiques leur terrain tout en sollicitant le TOUT PUISSANT de nous prémunir de leurs méfaits. La terreur ne me fera jamais reculer et Alhamdoulilah je ne connais pas la peur. Soyez rassuré que je vais bien.
Certes, ils ont touché à ce qui m’est chère et que je pleure encore : la mort tragique de mon fils mais ils devront apprendre à choisir leur cible. Personne ni rien ne peut me perturber. Ils le comprendrons à leur dépend. Je demande toujours pardon à mon épouse, mes enfants, mes parents, ma famille et mes proches.
Il faudra qu’ils s’attendent à tout. J’ai choisi de faire de la politique dans un environnement où tous les coups sont permis, même les plus lâches. Des coups de cette nature je m’y attendais car ce pays est allé très loin dans la haine et la méchanceté. Je suis prêt. »