«Depuis 11 ans, les dérives du pouvoir en place font peser de lourdes menaces sur les libertés publiques et les droits fondamentaux des Sénégalais. Rien n’explique, ni ne justifie la violence exercée par les forces de l’ordre sur le leader du Pastef Ousmane Sonko ». Ces propos sont de Khalifa Ababacar Sall, ancien maire de la Ville de Dakar et membre de la conférence des leaders de la coalition Yewwi Askan Wi (YAW), ce jeudi 16 février.
Ainsi, dira-t-il, «nous tiendrons le pouvoir responsable des conséquences qui découleront de ces exactions qui sapent les fondements de l’Etat de droit dont le tort est de revendiquer sa liberté de mouvement ».
Le socialiste de laisser entendre que «face aux agressions perpétrées contre les opposants, l’impérieux devoir de protection de la République s’impose à nous »