Khalifa Sall : il peut toujours arriver pire que mars 2021

Khalifa Sall
Khalifa Sall

A quelques heures de l’audition du leader du parti Pastef, Ousmane Sonko, prévue ce jeudi, à 12h dans le bureau duDoyen des juges, dans l’affaire «Adji Sarr», Khalifa Sall n’apas raté le régime en place.

Lors de leur conférence de presse, leaders de Yewwi Askan Wi ont qualifié ce dossier de «politique». Malgré les graves accusations de viols dans le dossier «Sweet beauté», Khalifa Sall reste convaincu que «la finalité de tout cela, c’est la liquidation d’un adversaire politique…» Face à la presse ce mercredi, l’ancien maire de Dakar et membre de la coalition Yewwi Askan Wi est serein, mais préfère mettre en garde la partie adverse…«S’il ne s’agit que de justice, nous n’avons aucune crainte quant à l’issue de ce dossier. Mais quand ils voudront y mêler autre chose, il en
sera autrement. Je veux vraiment être très clair pour que tout le monde sache qu’on acceptera plus certaine chose dans ce
pays». Déterminé, Khalifa Sall ajoute avec fermeté : «On ne peut pas accepter que dans ce pays, un pouvoir puisse à chaque fois,
choisir ces adversaires politiques. En réalité, la finalité de tout cela, c’est comment faire pour liquider un adversaire politique.

C’est la stricte vérité ! Quelle que soit la forme que cela prend, quels que soient les moyens utilisés, la finalité c’est ça ! Ousmane Sonko est très serein… il assumera toutes ses responsabilités, si c’était nécessaire» conclu-t-il.

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