Le rappeur Ngaka Blindé sera fixé sur son sort le 18 septembre prochain, date du délibéré. Le juge a opté sur ce cas de figure d’autant que les avocats de Ngaka Blindé et le procureur n’étaient pas en phase sur les lois.
A en croire l’envoyé spécial de Senego, « une nouvelle loi a été votée en mai 2018, ce qui fait que Ngaka Blindé ne puisse être jugé en Correctionnelle. L’Affaire est pendante dans la Criminelle et l’ancienne loi, en l’espèce prônait entre 10 à 20 ans de prison. La nouvelle loi étant plus atténuante, les avocats du rappeur veulent que leur client soit jugé à ce statut », a-t-il rapporté.
Les avocats de la défense plaident aussi pour une liberté provisoire car ils ne comprennent pas que leur client soit dans les liens de la détention depuis plus de six (6) mois sans en bénéficier.