C‘est Libération qui a explosé les méthodes de « Kocc » pour soutirer des fonds et monétiser des contenus compromettants.
Selon le journal, les vidéos et images compromettantes envoyées par les correspondants étaient réceptionnées à l’adresse [email protected] dont le contenu
est désormais sous le contrôle total de la Dsc.
«On ne peut pas savoir si c’est une Sénégalaise, il n’y a pas de son. Cela ne nous intéresse pas… », a envoyé, par message, El Hadji Babacar Dioum à son correspondant cueilli et inculpé vendredi dernier.
A noter que 1115 fichiers dénommés «seneg», pour Sénégal ont été retrouvés par les enquêteurs.
«J’ai ramassé un téléphone et il y a tes vidéos nues»; «C’est bon, la vidéo a été supprimée, vous pouvez vérifier »… Voilà comment les présumées victimes étaient contactées via 18 cartes Sim enregistrées sous divers noms et rançonnées.



