Jusque-là, le débat ne concerne que les citoyens qui peinent à récupérer leurs cartes d’identité et d’électeur.
Mais la préoccupation de ceux qui ont déjà reçu leurs cartes avec de graves erreurs n’est prise en charge par personne. Malgré leur nombre non négligeable, ils n’ont pas voix au chapitre et aucun recours n’est envisagé pour leur permettre de participer au prochain scrutin.