INFO CS : le PSG et son président ne sont pas dans le collimateur de la FIFA

Ce matin, tout lecteur du journal L’Equipe pouvait lire que la FIFA avait « saisi la justice suisse en sachant que Nasser al-Khelaïfi était mêlé à cette supposée affaire de corruption ». Le quotidien en déduisait que la FIFA était donc « prête à voir tomber le patron de beIN Media, qui est aussi celui du PSG ». Etienne Moatti, auteur de l’article, précisant même qu’une fois le MPC (ministère public de la Confédération helvétique) ayant « dévoilé l’existence d’une enquête, la commission d’éthique de la FIFA s’était saisie du dossier… » Et que celle-ci, en charge de l’instruction et du jugement, dirigée par Maria Claudia Rojas et Vassilios Skouris, pouvait tout à fait condamner pour « corruption privée » ou « escroquerie » Nasser al-Khelaifi si les faits étaient avérés. Et qu’elle pouvait tout à fait considérer qu’il ne pouvait plus exercer la présidence du PSG. Bref, le scénario du pire, avec la FIFA à la baguette. Dans le collimateur : Nasser al-Khelaifi. Vrai ou faux ? Selon les informations de Canal Supporters, la FIFA n’est pas à l’origine de l’enquête ouverte par la justice suisse. Et si un des organes juridictionnels de la FIFA, l’indépendante Commission d’Éthique s’est saisie du dossier, c’est parce qu’elle a obligation de le faire dans un tel cas de figure. Ici l’ouverture d’une enquête par le MPC. D’après des proches du club, le PSG ne se sent ni visé, ni attaqué par la FIFA. La fédération internationale lui ayant même assuré que ce n’était pas le cas. On est donc loin de la version donnée par L’Equipe ce mardi. On rappellera la ligne de défense du beIN Media Group face à cette enquête : l’absence de concurrence sur les territoires cités (Moyen-Orient/Maghreb) en ce qui concerne les droits TV des prochaines coupes du monde. Ce qui démonte l’intérêt d’une potentielle corruption. Mais aussi la juste évolution et augmentation des prix pour les droits sur cette compétition.

Ce matin, tout lecteur du journal L’Equipepouvait lire que la FIFA avait « saisi la justice suisse en sachant que Nasser al-Khelaïfi était mêlé à cette supposée affaire de corruption ». Le quotidien en déduisait que la FIFA était donc « prête à voir tomber le patron de beIN Media, qui est aussi celui du PSG ». Etienne Moatti, auteur de l’article, précisant même qu’une fois le MPC (ministère public de la Confédération helvétique) ayant « dévoilé l’existence d’une enquête, la commission d’éthique de la FIFA s’était saisie du dossier… » Et que celle-ci, en charge de l’instruction et du jugement, dirigée par Maria Claudia Rojas et Vassilios Skouris, pouvait tout à fait condamner pour « corruption privée » ou « escroquerie » Nasser al-Khelaifi si les faits étaient avérés. Et qu’elle pouvait tout à fait considérer qu’il ne pouvait plus exercer la présidence du PSG.

Bref, le scénario du pire, avec la FIFA à la baguette. Dans le collimateur : Nasser al-Khelaifi.

Vrai ou faux ? Selon les informations de Canal Supportersla FIFA n’est pas à l’origine de l’enquête ouverte par la justice suisse. Et si un des organes juridictionnels de la FIFA, l’indépendante Commission d’Éthique s’est saisie du dossier, c’est parce qu’elle a obligation de le faire dans un tel cas de figure. Ici l’ouverture d’une enquête par le MPC.

D’après des proches du club, le PSG ne se sent ni visé, ni attaqué par la FIFA. La fédération internationale lui ayant même assuré que ce n’était pas le cas. On est donc loin de la version donnée par L’Equipe ce mardi.

On rappellera la ligne de défense du beIN Media Group face à cette enquête : l’absence de concurrence sur les territoires cités (Moyen-Orient/Maghreb) en ce qui concerne les droits TV des prochaines coupes du monde. Ce qui démonte l’intérêt d’une potentielle corruption. Mais aussi la juste évolution et augmentation des prix pour les droits sur cette compétition.

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