Le décès de son époux a plongé M. Dramé et sa progéniture dans une situation très difficile. Veuve et mère de 4 enfants, tous à bas âge, elle avoue se livrer, de temps à autre à la prostitution clandestine. Mais, elle justifie cela par la recherche de fonds pour faire bouillir la marmite.
«De nos jours, c’est quasiment impossible de pouvoir compter sur l’appui financier de nos proches et je n’ai aucune qualification professionnelle ni moyen financier pour mener une activité commerciale. C’est pourquoi, je me trouve dans l’obligation de faire ce genre de chose», justifie la veuve, dans le journal de Walfadjri L’Aurore.