Le gouvernement Gambien a discrètement conclu un accord avec le gouvernement Italien pour expulser les plus de dix mille migrants vivant en Italie » avons nous appris de sources au fait de ce qui se trame dans le milieu diplomatique.
Et notre informateur, document à l’appui (voir image) de renchérir: « Le gouvernement italien ayant rempli sa part de l’accord d’expulsion forcée en fournissant des véhicules et une aide financière conséquente oblige le nouveau pouvoir Gambien à en faire autant au risque de rendre public les clauses confidentielles dudit accord même si c’est l’ancien régime sous Yaya Jammeh qui avait signé les documents ».
Et notre informateur, document à l’appui (voir image) de renchérir: « Le gouvernement italien ayant rempli sa part de l’accord d’expulsion forcée en fournissant des véhicules et une aide financière conséquente oblige le nouveau pouvoir Gambien à en faire autant au risque de rendre public les clauses confidentielles dudit accord même si c’est l’ancien régime sous Yaya Jammeh qui avait signé les documents ».
Cela dit, il revient à dakarposte.com que Banjul avait dépêché des membres des services d’immigration pour une collaboration franche avec les Italiens et les identités des personnes en situation illégale avaient fait l’objet d’un listing en vue de leur retour en Gambie.
Mais selon certains officiels de chez Romano Prodi, l’ancien président gambien après avoir ratifié le dit accord et encaissé la contrepartie avait dénoncé avec vigueur , non sans fustiger le caractère xénophobe et racial du traité.
Cette volte face de Yaya Jammeh avait mis les italiens dans une position inconfortable et il ressort de certains gambiens que le gouvernement Italien aurait participé financièrement à la campagne du nouveau président pour en retour faire appliquer ces accords.
Cette volte face de Yaya Jammeh avait mis les italiens dans une position inconfortable et il ressort de certains gambiens que le gouvernement Italien aurait participé financièrement à la campagne du nouveau président pour en retour faire appliquer ces accords.
Pour rappel, les gambiens de la diaspora avaient tiré sur la sonnette d’alarme en demandant en leurs parents restés au pays de voter pour la coalition s’ils ne voulaient pas voir leurs fils rapatriés.
« Le président Barraw doit faire face à cette situation au nom de la continuité de l’Etat et du respect des engagements internationaux » nous souffle, sous le sceau de la confidence, un membre de l’ex NIA. Qui nous renseigne sur les identités des agents de l’immigration Jahateh et Cham qui avaient été envoyé à l’époque au pays de Berlusconi pour donner forme à l’accord en question tout en s’inquiétant du nombre de Gambiens qui doivent être expulsés .
« Le président Barraw doit faire face à cette situation au nom de la continuité de l’Etat et du respect des engagements internationaux » nous souffle, sous le sceau de la confidence, un membre de l’ex NIA. Qui nous renseigne sur les identités des agents de l’immigration Jahateh et Cham qui avaient été envoyé à l’époque au pays de Berlusconi pour donner forme à l’accord en question tout en s’inquiétant du nombre de Gambiens qui doivent être expulsés .
Ci-dessous le document officiel signé par les deux gouvernements pour le rapatriement prévue des Gambiens entrés clandestinement en Italie