INCROYABLE ! Ce qui arrive lorsque vous mangez de l’ail cru à jeun tous les jours

Tandis que certains raffolent de son goût prononcé, d’autres sont répugnés par son odeur. Et pourtant, les médecins se rejoignent tous sur ce fait : l’ail est le condiment le plus parfait pour la santé en termes de nutrition.

Il domine fièrement les assiettes de nos voisins méditerranéens et orientaux, et son intérieur renferme mille merveilles pour le corps humain.  Dans le monde de la médecine traditionnelle, on le glorifierait presque puisqu’il compte parmi les 1 000 aliments les plus antioxydants au monde. Il est également reconnu comme étant l’antibiotique naturel par excellence. Ses propriétés médicinales ne se comptent plus depuis des siècles et le consommer quotidiennement peut vous assurer la longévité. 

Valeurs nutritionnelles

Il est tout d’abord important de dresser une petite fiche nutritionnelle de cet aliment car derrière ses multiples couches de feuilles se cache un cœur très riche en nutriments.

En effet, 100 g d’ail contiendraient :

  • De la vitamine A, B1, B2, B3, B5, B6 et C.
  • 6 g de protéines
  • 3 g de fibres
  • 379 mg de potassium
  • 38 mg de calcium
  • De la lutéine et de la zéaxanthine
  • Du phosphore, du sodium, du cuivre et du fer en moindre quantité.

Les bienfaits de l’ail sur la santé

Il réduit l’hypertension

L’ail est le meilleur remède naturel pour traiter l’hypertension car il permet de contrôler la pression artérielle et d’améliorer la circulation sanguine.

Il est anti-inflammatoire

L’ail est anti-inflammatoire, donc idéal pour soulager les douleurs de tous types, spécialement les douleurs articulaires comme l’arthrite.

Il combat les infections

Il suffit de voir comment il s’auto-protège pour croire en ses propriétés protectrices, antimicrobiennes et désinfectantes lesquelles traitent certaines infections naturellement et empêchent leur propagation.  Ces dernières  peuvent comprendre les champignons, les infections bactériennes externes et les infections internes, infections urinaires. Il est recommandé de consommer quotidiennement lorsque l’on souffre d’infections pour renforcer le système immunitaire.

Il est bon pour les poumons

L’ail serait miraculeux pour prévenir les maladies respiratoires. En effet, cet aliment empêche l’apparition de la tuberculose, de la pneumonie, la bronchite, du rhume, de l’asthme, de la congestion pulmonaire et de la toux tout en assurant le bon fonctionnement du système pulmonaire. Le meilleur moyen de traiter les maladies pulmonaires avec de l’ail c’est en l’infusant dans de l’eau chaude pour augmenter son efficacité.

L’ail, un anti-cancer

L’ail contient des composés sulfurés lesquels sont libérés lorsqu’il est taillé. Ces composés ont pour rôle d’empêcher la prolifération de nouvelles cellules cancéreuses. Ainsi, la consommation de l’ail préviendrait bon nombre de cancers tels que le cancer de l’estomac et du côlon, le cancer  du sein, de la prostate, de l’œsophage et du poumon.

Les médecins recommandent d’en consommer le matin à jeun. Mais pourquoi ?

Les plus grands médecins du monde le disent : il faudrait consommer l’ail le matin sur un estomac encore vide. C’est lorsque ce dernier est à jeun qu’il peut pleinement assimiler tous les nutriments de l’ail sans qu’ils ne soient mélangés à d’autres aliments. Autre explication : le matin, nos bactéries présentes dans le corps sont moins résistantes et deviennent donc plus vulnérables face à l’action curative de l’ail.

Mise en garde

La consommation d’ail est déconseillée aux personnes atteintes de porphyrie – une maladie du sang qui rend photosensible dont elle peut augmenter les effets ; et aux personnes ayant subi une intervention chirurgicale, à cause de son effet anticoagulant qui risque de causer des hémorragies. Il est préférable aussi que la femme allaitante évite d’en consommer pour ne pas altérer le goût du lait maternel et que le nourrisson le repousse. Et enfin, l’ail aurait tendance à fluidifier le sang, il faudrait faire attention à ne pas le combiner avec des médicaments qui ont le même effet au risque de décupler la fluidification.

Santeplusmag

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