Même si ses détracteurs pensent le contraire, il y a une chose qui en souffre aucun doute chez Idrissa Seck : sa pugnacité. Hier en compagnon de Me Wade dans la longue marche pour la conquête du pouvoir auquel il goûtera peu avant d’être envoyé en prison.
Dans le sud du pays, en tournée, l’ancien Premier ministre s’est prononcé sur les questions de l’heure qui agitent la gazette politique. « Les rapports entre l’Occident et l’Afrique sont des rapports de domination et de pillage», martèle-t-il.