People.sn : Ibou Touré, pouvez vous revenir avec nous sur l’affaire Diodio Diaw ?
Ibou Touré : Du n’importe quoi est raconté sur moi et c’est trop! Pour Diodio cela fait un an que je ne l’ai pas vue. On ne se parle pas, on n’est plus ensemble et je n’ai rien à voir avec cette solidité de couple dont elle parle. Je ne suis pas au courant de cette copine “briseuse de couple” dont elle parle, je n’ai rien à voir avec une paternité ou une quelconque reconnaissance de paternité. Accepter la fin d’une relation est difficile pour les filles des fois. Et cela les conduits à dénigrer.
People.sn : Quid de l’affaire Wally Ballago Seck ?
Ibou Touré : Non, il n’y a aucun problème et Wally est mon frère, c’est même mon jumeau si je peux dire. Tu sais mieux que moi qu’au Sénégal les gens aiment dire des choses qu’ils ne maitrisent pas. Wally c’est mon frère et rien ne peux y faire.
L’affaire de la maison….
C’est faux et c’est de l’intox, Wally est plutôt victime dans cette affaire, on cherche à utiliser son nom à d’autres fins.
People.sn : On annonce pour la semaine prochaine votre mariage avec Aïchana Aïdara, c’est la vérité ?
Ibou Touré : C’est encore faux, et c’est pourquoi je suis fondé à croire qu’il y a quelque part de l’acharnement. Je ne la connais même pas cette Aïchana Aïdara et j’ai eu vent de cette fausse histoire, j’en ai même parlé à celui qui a écrit le papier.
People.sn : Qu’est ce qui se cache derrière cette affaire ?
Ibou Touré : Absolument rien du tout. C’est une menteuse et c’est elle qui a envoyé les photos à sa cousine pour faire le buzz dessus. Mais je ne la connais ni d’Adam, ni d’Eve, c’est un piège et je suis habitué à ce genre d’arnaque, c’est à l’opinion de comprendre que des filles cherchent à nous avoir dans leurs jeux.
People.sn Mais à quand ton retour au Sénégal pour vider ces affaires ?
Ibou Touré : J’arrive la semaine prochaine et je suis pressé de me laver de ces histoires qui ne tiennent pas debout. Je suis un talibé de Serigne Saliou qui assume son destin, mais je n’accepterai pas qu’on me piétine, qu’on atteigne mon honneur.