Cette fondation “sera une source de promotion des valeurs de liberté, d’égalité, de tolérance” et “diffusera la connaissance de l’esclavage, de la traite mais aussi tout le combat des abolitionnistes”, a-t-il ajouté, en précisant qu’elle réfléchirait aussi “à l’édification d’un mémorial aux esclaves et d’un lieu muséographique”. Votée il y a quinze ans, la loi Taubira reconnaît la traite négrière et l’esclavage comme des crimes contre l’Humanité.