Le Groupe de travail des Nations-Unies persiste et signe que la détention du fils du président Wade est arbitraire.

karim-wadeL’affaire Karim Wade suscite toujours polémique dans le landernau politique et judiciaire. Le Groupe de travail des Nations-Unies persiste et signe que la détention du fils du président Wade est arbitraire. Et son porte-parole, José Antonio Guerera Bermúdez, sur la Rfm, de souligner que Wade-fils doit bénéficier d’une liberté provisoire au même titre que ses coaccusés.

A l’en croire, l’article 9 à linea 5 des droits civils et politiques de la Gouvernance internationale prévoit qu’une personne détenue de manière arbitraire a droit d’abord à une compensation.

« Et si sa détention se poursuit, il doit être en droit d’exiger sa liberté. C’est ce que nous avons fait dans cet avis et d’analyser les conditions de la détention préventive  de Karim Wade. Il ne devrait pas faire plus de 6 mois. Mais, on a vu que cela a fait trois de mois plus. Donc, c’est trois mois de détention arbitraire », argumente le porte-parole du Groupe de travail des Nations-Unies.

« D’autres personnes ont été dans la même situation, mais elles ont pu bénéficier d’une liberté provisoire et on l’a refusé à Karim Wade », s’est-il inquiété.

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