«Pour se nourrir, on est obligé de se déplacer hors du campus ; il y a même des pavillons qui vont être privés d’eau et d’électricité. Ce n’est vraiment pas normal. On est obligé de se nourrir mais ça coûte vraiment cher. Pour le petit-déjeuner, tu dépenses au moins 400 à 500 FCFA sans compter le déjeuner. La journée tu dépenses au moins deux mille francs», s’est-il lamenté.
Son collègue ne comprend pas qu’on puisse fermer le campus au moment où les examens ne sont pas encore finis. Pour Assane Ndong, il faut une uniformisation des activités entre le campus social et le campus pédagogique.