«Je ne savais pas que j’allais devenir écrivain. Je voulais devenir journaliste comme Sokhna Dieng (ancienne journaliste à la télévision nationale sénégalaise) ou être professeure de français», a confié l’écrivaine Fatou Diome,à l’occasion d’une rencontre littéraire avec des élèves du lycée Saïdou Nourou Tall de Dakar.
L’auteur du Ventre de l’Atlantique qui s’exprimait dans le cadre de la 15e édition de la Foire internationale du livre et du matériel didactique de Dakar (FILDAK) qui s’ouvre jeudi dans la capitale, de citer son propre parcours en exemple, pour exhorter les jeunes élèves au travail.
«Quand j’étais une bonne (fille de ménage) à Dakar ou en Gambie et que je disais que je veux être institutrice, tout le monde riait », raconte-t-elle aux lycéens, ajoutant : « Peut-être le prix Nobel de mathématiques est dans cette salle. Que savons-nous ? « , s’est interrogé l’auteure franco-sénégalaise. Citée par l4Aps, elle est revenue sur ses ambitions, alors jeune fille, un passé difficile mais dont elle reste fière.
Auteur d’ouvrages sur le mariage mixte, le Docteur en philosophie et littérature qui a abordé avec les élèves l’influence de Mariama Ba, auteure d’ »Une si longue lettre, a révélé vouloir être journaliste au départ. « Je sais bien qu’il y a des gens qui se marient (aux Européens) pour des histoires d’argent ou de papier mais la vie en Europe, c’est parfois la galère », a mis en garde celle qui parle en connaissance de cause.
seneweb
L’auteur du Ventre de l’Atlantique qui s’exprimait dans le cadre de la 15e édition de la Foire internationale du livre et du matériel didactique de Dakar (FILDAK) qui s’ouvre jeudi dans la capitale, de citer son propre parcours en exemple, pour exhorter les jeunes élèves au travail.
«Quand j’étais une bonne (fille de ménage) à Dakar ou en Gambie et que je disais que je veux être institutrice, tout le monde riait », raconte-t-elle aux lycéens, ajoutant : « Peut-être le prix Nobel de mathématiques est dans cette salle. Que savons-nous ? « , s’est interrogé l’auteure franco-sénégalaise. Citée par l4Aps, elle est revenue sur ses ambitions, alors jeune fille, un passé difficile mais dont elle reste fière.
Auteur d’ouvrages sur le mariage mixte, le Docteur en philosophie et littérature qui a abordé avec les élèves l’influence de Mariama Ba, auteure d’ »Une si longue lettre, a révélé vouloir être journaliste au départ. « Je sais bien qu’il y a des gens qui se marient (aux Européens) pour des histoires d’argent ou de papier mais la vie en Europe, c’est parfois la galère », a mis en garde celle qui parle en connaissance de cause.
seneweb
