Fadel Barro n’entend pas répondre aux accusations de Moustapha Cissé Lô qui taxe les Yen a marristes de “moins que rien incapables de percer dans la musique qu’ils font et menant grand train, toujours entre deux avions”.
Non pas parce que l’homme fut un “baay guinar” (vendeur de poulets), mais plutôt parce que le “Y’en a marriste” préfère ne pas goutter à ” ces genres de propos.
Le jour où vous m’entendrez parler de cela, dites vous bien que Fadel Barro est devenu fou. Nous sommes en démocratie. On le laisse s’exprimer comme il veut”, lance -t-il, en marge de la conférence de presse tenue dans les locaux d’Amnesty Sénégal pour exiger la libération de défenseurs des droits humains arrêtés au Congo.