Bien que la saison touristique soit en période basse, la station Saly ne chôme pas surtout la nuit avec le rush des prostituées de tous âges. Seulement, avec la nouvelle vague de mineures, le marché s’xuel en effervescence est rythmé de conflits avec une montée en flèche des anglophones qui gèrent les réseaux annexes de drogue.Nos confreres de People.sn révèle que ce sont des filles mineures à peine sorties de la puberté. Des étrangères qui élisent domicile au Sénégal ou de simples prostitués ne jouant plus les premiers rôles dans les grandes villes. En tout cas, avec le marché s’xuel en cours sur la station balnéaire de Saly, le Dakar by Night ne fait plus sensation et les lapins chauds se bousculent chaque week-end avec les touristes pédophiles pour se servir à des prix variant entre le CFA et l’Euro. Que ce soit au niveau des bars, véritables cadres pour les avant-premières, et les boites, lieux privilégiés pour ferrer les proies, le marché s’est déplacé dans les auberges, avec la rafle constante des forces de l’ordre qui sévissent dans les milieux populaires. Seulement à Saly les rôles sont codés et malgré la surveillance sans répit des limiers, les réseaux s’xuels se multiplient avec des offres plurielles. La source qui évolue dans cet enfer depuis trois ans explique que la destination n’a jamais été courue comme ces derniers temps. Même si elle dénonce la forte présence des anglophones, qui gère aussi le marché de la drogue, elle explique que le rush du mois dernier a fait baisser les prix au point d’en décourager des filles connues et très assidues la nuit à Saly.
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