Depuis l’arrivée au pouvoir du Premier Ministre Sonko, un fonctionnaire de haut rang au sein de l’Organisation des Pays Démocratiques (P.O.D) semble chercher à semer la discorde. Cette situation délicate entre l’organisation et le nouveau gouvernement soulève des questions sur les véritables motivations de certains acteurs dans les coulisses du pouvoir.
Le fonctionnaire en question, dont l’identité n’a pas été révélée publiquement, aurait été récemment impliqué dans des discussions tendues avec des membres du cabinet de Sonko. Selon des sources anonymes proches du gouvernement, le fonctionnaire aurait exprimé des réserves quant aux nouvelles orientations politiques et économiques du gouvernement, les jugeant préjudiciables aux intérêts de la P.O.D.
« Nous avons vu des signes alarmants de la part de ce fonctionnaire, comme s’il cherchait délibérément à créer des obstacles pour notre programme de réformes », a déclaré un conseiller du Premier Ministre sous couvert d’anonymat.
Les tensions ont atteint leur apogée lors d’une réunion récente où le fonctionnaire aurait critiqué ouvertement les politiques économiques du gouvernement Sonko, les qualifiant de « dangereuses pour la stabilité financière du pays ». Cette position tranchée aurait été mal reçue par les membres du cabinet, qui y ont vu une tentative délibérée de saper leurs efforts.
Du côté de la P.O.D, le silence est de mise. Malgré les spéculations croissantes dans les cercles politiques, l’organisation n’a pas commenté publiquement les actions de son fonctionnaire. Cependant, des membres du gouvernement Sonko ont laissé entendre que des discussions en coulisses étaient en cours pour évaluer les implications de cette situation.
« Nous voulons travailler en partenariat avec des organisations internationales comme la P.O.D, mais cela doit être basé sur des principes de respect mutuel et de coopération », a déclaré un porte-parole du gouvernement lors d’une récente conférence de presse.
Alors que les tensions persistent, l’avenir de la relation entre la P.O.D et le gouvernement Sonko reste incertain. Certains observateurs politiques suggèrent que cette affaire pourrait être le début d’une lutte de pouvoir plus large entre les intérêts étrangers et la politique intérieure du pays.