Suite à la publication d’une information erronée me concernant dans le site Dakaractu.com, dans l’article «Le ministre conseiller accusé d’avoir violenté une cliente », j’ai entrepris la démarche de faire parvenir ma version des faits, refusant de croire qu’un site sérieux puisse offrir délibérément des informations fausses à son lectorat sans m’avoir contacté. Voici ma réponse sur ces propos diffamatoires : J’ai connu Madame Baroso née Seynabou Touré par sa mère, Mame Fatou Conaré, une amie d’enfance avec laquelle j’ai grandi au quartier Bopp.
Elle me l’a présentée en 2014 afin que je puisse l’aider car elle traversait une période de divorce difficile avec son mari, Monsieur Raoul Baroso d’origine espagnole, lequel le Tribunal de Dakar avait confié la charge de leurs deux filles pour des raisons de mœurs légères du côté de la mère. Depuis ce jour, je n’ai cessé de la soutenir.
D’abord en lui confiant la charge du site et des pages FB de ma société, ensuite la confection des catalogues et brochures, afin qu’elle puisse avoir un peu de revenu. Madame Baroso ne m’a jamais livré ces commandes à l’exception de 250 catalogues sur 500 déjà payés. Elle s’est présentée à mes bureaux le vendredi 10 juin 2016 pour réclamer le paiement de services qui n’étaient pas livrés tout en me menaçant de me « détruire médiatiquement » si je ne lui donnais pas de l’argent. C’est alors que je lui ai demandé de quitter mon bureau où elle a refusé, en continuant ses menaces et injures. Ainsi, je l’ai traîné jusqu’à la porte pour la mettre au dehors.
Cependant, ses mensonges laconiques et contradictoires perpétués d’organes de presse en un autre ne me feront jamais succomber à ce chantage cruel organisé. D’autre part la mention de mon nom dans ces organes et sites (en y négligeant le nom de Madame Seynabou Touré Baroso) illustre l’acte délibéré perpétré à des fins classiques connues de tous devant l’absence totale d’arguments pour défendre leur point de vue. J’ai un devoir de vérité tenu tant par la déontologie et l’éthique de mon métier que par le respect le plus élémentaire de l’intellect de mes concitoyens.