Dans “Xalass”, un ex-voleur, devenu chef de quartier raconte comment il a enchaîné les évasions de prison. Sur ce, il défend Boy Djiné.
“Boy Djiné n’est pas violent. On n’a jamais trouvé une arme sur lui, il n’est pas un criminel, mais un voleur. On doit le juger. A mon époque, j’étais plus coriace que Boy Djiné. Quand je m’évadais, les gardes se demandaient comment je faisais pour ne laisser aucune trace…”, explique-t-il.