« Nous voulons réduire au maximum les cas de non inscription à l’état civil. Faire au mieux pour que l’inscription directe soit la norme et le principe, et que les audiences foraines soient l’exception», a estimé Doudou Mboup, coordonnateur de la maison de Justice de Kaolack.
Cette conférence a permis aux populations de mieux savoir les enjeux de l’état civil, surtout à Kaolack où beaucoup d’élèves ratent leurs examens pour défaut de bulletins de naissance.
A noter que des personnalités, comme l’adjoint au préfet de Kaolack, le procureur, le chef de service à l’état civil et la police, étaient présentes dans cette conférence publique.
Babacar TOURE