Le drame s’est produit dans la commune de Monzo, une ville de l’Espagne.
Daba DIOP a été poignardée à mort par son époux devant leurs deux enfants âgés respectivement de 10 et 6 ans.
Une mort qui a coïncidé avec la célébration de la Journée internationale pour l’élimination de la violence machiste et qui a touché des milliers de personnes dans les rues de la province. Le conseil municipal, réuni au sein du bureau des porte-parole, a décrété trois jours de deuil et indiqué qu’elle était une femme qui travaillait pour élever ses enfants. Le bâtiment a été expulsé alors que l’enquête était en cours, en attendant que le juge décide de l’enlèvement du corps.
L’auteur présumé a été arrêté alors que les enfants séjournaient dans le logement protégé de Caritas, jusqu’à ce qu’un membre de la famille prenne soin d’eux. Le meurtrier reste dans les cachots de Monzón, dans l’attente d’être traduit en justice.
Le maire de Monzón, Álvaro Burrell, a convoqué le bureau des porte-parole et a condamné le meurtre du voisin. Il a décrété trois jours de deuil durant lesquels les drapeaux brilleraient en berne.
Burrell a noté qu’elle vivait à Monzón pendant une décennie et qu’elle travaillait actuellement dans l’une des brigades du conseil municipal. Son seul objectif était d’élever ses enfants. Ce, après le divorce d’avec son mari.
Daba DIOP a été poignardée à mort par son époux devant leurs deux enfants âgés respectivement de 10 et 6 ans.
Une mort qui a coïncidé avec la célébration de la Journée internationale pour l’élimination de la violence machiste et qui a touché des milliers de personnes dans les rues de la province. Le conseil municipal, réuni au sein du bureau des porte-parole, a décrété trois jours de deuil et indiqué qu’elle était une femme qui travaillait pour élever ses enfants. Le bâtiment a été expulsé alors que l’enquête était en cours, en attendant que le juge décide de l’enlèvement du corps.
L’auteur présumé a été arrêté alors que les enfants séjournaient dans le logement protégé de Caritas, jusqu’à ce qu’un membre de la famille prenne soin d’eux. Le meurtrier reste dans les cachots de Monzón, dans l’attente d’être traduit en justice.
Le maire de Monzón, Álvaro Burrell, a convoqué le bureau des porte-parole et a condamné le meurtre du voisin. Il a décrété trois jours de deuil durant lesquels les drapeaux brilleraient en berne.
Burrell a noté qu’elle vivait à Monzón pendant une décennie et qu’elle travaillait actuellement dans l’une des brigades du conseil municipal. Son seul objectif était d’élever ses enfants. Ce, après le divorce d’avec son mari.