Une maman tue son fils de 8 ans après qu’il l’ait surprise au lit avec son …

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Une maman a commis un geste qualifié de cruel par plusieurs observateurs, elle a brutalement tué son fils agée de huit ans après que ce dernier ait découvert qu’elle avait une liaison avec son grand père. La maman médite son sort dans une prison enitalie, où l’horrible scéne s’est déroulé.

C’est une affaire sordide qui a traumatisé l’Italie que relate The Independant. Une mère de famille a été condamnée lundi à trente ans de réclusion criminelle en Sicile pour avoir tué son fils de huit ans, qui l’avait surprise en pleins ébats sexuels avec son grand-père.

En novembre 2014, Veronica Panarello avait étranglé son petit garçon Loris Stival avec des câbles électriques, avant d’abandonner son corps dans un ravin, non loin de Santa Croce, en Sicile.

© Fournis par BFMNews

Un assassinat prémédité et mis en oeuvre avec une grande « cruauté », des mots du juge du tribunat de la province de Ragusa, dans le sud-est de la Sicile. La mère infanticide a en effet pris le soin de dissimuler le corps de l’enfant, encore vivant mais inconscient.

Une femme « manipulatrice et égocentrée »

Le cadavre avait été découvert par chasseur. Il présentait une importante blessure à la tête, et de nombreuses égratignures sur tout le corps. Devant les enquêteurs, la mère de l’enfant avait assuré que son fils avait été enlevé. Une affirmation très vite démontée par les images de vidéosurveillance de l’école.

Les soupçons se sont très vite portés sur Veronica Panarello, qui a d’abord prétendu que son enfant avait été victime d’un « accident » pendant qu’il jouait avec des câbles électriques. A la barre, elle a changé de version, affirmant que le meurtrier était en fait le grand-père de Loris, Andrea Stival. Ce dernier aurait voulu à tout pris faire taire l’enfant qui les avaient surpris en pleines relations sexuelles.

Mais c’est bien la culpabilité de la mère qui a été reconnue par la cour. « Il n’y a aucune satisfaction dans cette condamnation, mais le sentiment d’avoir accompli notre devoir », a déclaré le procureur Marco Rota, qui n’a cessé, pendant tout le procès, de qualifier l’accusée de « manipulatrice égocentrée ».

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