Voici une histoire qui donne terriblement froid au dos. Un homme appelé Gregory Green, qui était encore liberté conditionnelle, vient de commettre quatre meurtres des plus horribles aux Etats-Unis. A en croire nos confrères de LCI, cet individu a froidement assassiné les quatre enfants de la femme qu’il venait à peine d’épouser lorsqu’il est sorti provisoirement de prison.
L’homme avait été condamné une première fois en 1991 pour le meurtre de sa femme. Ce meurtrier originaire du Michigan avait mortellement poignardé sa femme qui était enceinte de 6 mois. C’est lui-même qui avait prévenu la police venue l’arrêter sur place. Après 16 années de prison, Gregory Green avait bénéficié d’une libération conditionnelle. Les juges avaient refusé à plusieurs reprises de le laisser sortir car il ne présentait aucun signe de remords suite son acte. Mais cette fois, sa remise en liberté avait été favorisée par le soutien d’un pasteur, Fred Harris.
Le religieux pensait que le meurtrier avait payé pour ce malheureux acte impulsif et qu’il fallait plaider pour sa libération. Fred Harris avait assuré à la justice que sa communauté accueillerait à bras ouvert Gregory Green et qu’elle l’aiderait à se reconstruire une vie conjugale heureuse et stable. Une promesse plus que tenue puisqu’à sa sortie en 2008, l’ex-prisonnier a épousé Faith Harris, la fille du pasteur, qui était déjà mère de deux enfants. Le couple a également eu deux autres bébés.
Après leur mariage, tout était loin d’être rose. Faith a demandé le divorce en août dernier. C’est un mois plus tard que le drame s’est produit. Le 21 septembre, Gregory Green appelle de nouveau le 911. Lorsque la police arrive sur place, elle découvre Faith Harris-Green dans la cave gravement blessée. A ses côtés, les deux adolescents qu’elle a eus lors d’une précédente relation sont morts, tués par balle. A l’étage, les deux fillettes du couple, âgées de 4 et 5 ans, sont également décédées. Elles ont été empoisonnées dans la voiture familiale au monoxyde de carbone avant que leur père ne transporte les corps. Lors du procès, le meurtrier a reconnu les faits sans pouvoir donner les raisons qui l’ont amené à commettre ce crime.