Elle a toutes les prédispositions du bon journaliste (touchons du bois!). Sophie Barro, pour ne pas la nommer, est reporter à l’Observateur. Elle a bourlingué avant de déposer son baluchon au canard de la Médina. Sophie a d’abord fait ses preuves au défunt Walf Grand Place.
Certes, le métier de pisse-copie recouvre bien des réalités. Très diverses même. Mais, cette Saloum-Saloum d’origine a, pourrait-on dire, blanchi sous le harnais. Ses proches cablés par des radars de dakarposte s’accordent à la décrire comme un reporter qui sait analyser l’information avant de s’en acquitter. Doté certes d’un sens inné du contact, elle a la maestria de décortiquer l’art de diriger la cité, autrement dit la politique, mais Sophie Barro traine le défaut d’être parfois réservée ou de s’emporter vite. En fait, elle ne se laisse pas marcher sur les pieds.
Il nous revient cependant que la fille de Sokone, non moins talibé de Mawlana Cheikhal Islam (Baye Niass) peut se révéler polyvalente. En d’autres termes, selon les cas elle peut se spécialiser (en politique, société, culture,…) ou rester généraliste.
Bref, la Sophie, doté d’un bon carnet d’adresses, a, nous souffle t’on, les compétences requises, le profil de l’emploi… »machallah! »
Mais, elle tarde à sauter le balai. Et, pourtant des prétendants ne manquent pas…
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