« Oui, le président Ousmane Sonko a été transféré au Cap Manuel », affirme le secrétaire national à communication de l’ex-parti Pastef/Les patriotes.
Toutefois, pour ce dernier, « quel que soit son lieu de détention, le résultat est le même : le président Ousmane Sonko reste un candidat favori à l’élection présidentielle, arbitrairement détenu et privé de ses droits par ses adversaires politiques ». El Malick Ndiaye rappelle qu’Ousmane Sonko n’est pas le seul leader du parti à être en détention au Cap Manuel. Son secrétaire général, Bassirou Diomaye Faye, est aussi en prison depuis le mois d’avril dernier. Ce que le secrétaire national à la communication qualifie d’inédit, car il s’agit, selon lui, d’une séquestration arbitraire perpétrée par le régime du président Macky Sall.
El Malick Ndiaye donne rendez-vous pour le 17 novembre 2023, « une date historique pour la démocratie sénégalaise et (qui) sonnera le réveil du phœnix ».