« Les promoteurs ne font que dire ce qu’ils veulent et pensent. Ils devaient convoquer les lutteurs, le CNG, les managers pour discuter avant de prendre une quelconque décision. On ne peut forcer personne à faire ce qu’il ne veut pas. Si tel est le cas et qu’on nous avait expliqué ce qui a motivé cette décision, je pouvais en parler à mon fils et le convaincre de le parler. On ne se lève pas un beau jour pour prendre une décision et vouloir l’appliquer à tout le monde. Ils auraient pu nous exposer le fond du problème. Mais moi je n’accepterai pas qu’on m’impose quoique ce soit. Entre celui qui a son produit et l’autre qui a son argent, une discussion est incontournable car personne ne peut imposer quoi que ce soit à l’autre », a laissé entendre Doubless lors d’un entretien accordé à Sunulamb.
« Je ne veux pas de 100 millions. Non! Avancer pour ensuite reculer n’arrange qu’une voiture. Je ne l’accepterai pas. (jigoul nit). Je veux que le cachet arrive jusqu’à 200 ou 300 millions, mais il faut savoir aller petit à petit.(…) Tout dépend, je suis certes son père, son conseiller et son manager. Si nous essayons à s’asseoir autour d’une table pour discuter, il peut accepter de lutter pour 140 voire 130 millions à condition que nous tombions d’accord. », déclare le père de Balla Gaye 2