«Comme la plupart des originaires des quatre communes de l’époque, fonctionnaires français affectés au Sénégal, ils ont perdu ipso facto leur nationalité française dès l’aube de l’indépendance », ont-ils précisé dans Le Populaire.
Ainsi, « ils démissionnèrent des cadres de l’Education nationale française et renoncèrent aux traitements et avantages y afférents pour intégrer la fonction publique sénégalaise », ont-ils souligné.
Mieux, ajoutent-ils, « Amadou Makhtar Mbow en tant qu’engagé volontaire et combattant de la guerre de 39-45, n’a jamais fait valoir son droit à une pension militaire française.