Donald Trump a en outre annoncé des « sanctions dures » cotre les Gardiens de la révolution iraniens, une organisation paramilitaire qui dépend directement du Guide iranien.
Après des mois de suspens, Donald Trump a annoncé, vendredi 13 octobre, qu’il ne certifierait pas l’accord sur le nucléaire iranien. Le locataire de la Maison Blanche n’avait cessé de critiquer ce traité, signé par son prédécesseur, lors de la campagne présidentielle. Selon la loi, le chef d’Etat doit certifier au Congrès tous les 90 jours que l’Iran ne triche pas et que l’accord est « vital » pour les Etats-Unis.
Donald Trump place de facto le Congrès en première ligne afin d’adresser « les nombreuses profondes faiblesses de l’accord », qui vise à empêcher l’Iran de se doter de l’arme nucléaire. Il demande aux élus américains de voter des sanctions contre Téhéran, que le locataire de la Maison Blanche accuse d’être « l’allié principal » du terrorisme.
« Toutefois, dans l’éventualité où nous ne serions pas capables de trouver une solution en travaillant avec le Congrès et nos alliés, alors l’accord prendrait fin, a menacé le président américain. Il est sous examen permanent et notre participation peut être annulée par moi, en tant que président, à tout moment. » Donald Trump a en outre annoncé des « sanctions dures » contre les Guardiens de la révolution iraniens, une organisation paramilitaire qui dépend directement du Guide iranien.