Don Diego, le milliardaire Saoudien: « Ce qui me lie aux homosexuels et aux prostituées… »

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 » C’est ma manière d’être, ma spontanéité. Je suis quelqu’un de très ouvert et d’adorable. On m’aime dès le premier coup d’oeil. Il y a aussi ma joie de vivre et ma bonne humeur qui me colle à la peau comme une seconde nature. Tous ces aspects de ma personne m’ont facilité le contact avec les gens (…) Je suis riche de mes amis et de ma célébrité. Aujourd’hui aussi fauché que je puisse être, il me suffit de prendre le téléphone et mes soucis sont réglés. La preuve lorsque j’ai voulu prendre une femme, je n’avais pas un sou en poche. J’ai alors fait appel à un ami directeur de société. Je l’ai trouvé dans un restaurant de la place, il était avec kader Ndiaye de Tse. Nous ne connaissions pas et pourtant après avoir expliqué mon problème à mon ami, il m’a signé un chèque. Avec l’argent que mon amis m’a offert et le chèque de Kader, je me suis retrouvé avec 500.000f, alors que je n’espérais qu’un petit 100.000f pour faire un mariage sobre. »

« Je fréquente un milieu dense avec toutes sortes de personnes. Je suis avec des gens qui consomment de la drogue, mais les joueurs n’en font pas partie (…) Lorsque je gérais certaines boites, il m’appelaient avant de venir pour savoir s’il y avait de belles filles. Il m’arrivait de leur présenter à des belles filles, mais sans plus. Ils ne m’ont jamais payé pour que je mette des filles dans leurs lits. Les gens interprètent comme ils veulent.(..) Regardez ma femme(il pointe du doigt sa femme en état de grossesse), je suis un guerrier, un vrai homme. Je connais les homosexuels et je discute souvent avec eux. Et c’est peut-être c’est qui explique qu’on me taxe d’homosexuel. Je les écoute souvent et ils me parlent de leurs conditions de vie. Il en est de même avec les gouines(lesbiennes) et les prostituées. Ils ne sont pas mauvais en soi, mais la plupart ont versé dans ces travers par nécessité. Ils vivent des situations vraiment difficiles et s’adonnent à des bassesses pour pouvoir s’en sortir. Avec le temps, ils sont pris au piège et ne peuvent plus s’échapper de ce cercle vicieux », a laissé entendre Don Diego lors d’un entretien avec L’Obs.

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