Des menaces de diffusion sur Internet et les réseaux sociaux de vidéos compromettantes commise par son ex-petit ami. Voilà une situation qui donne des insomnies à une jeune femme. Celle-ci, finalement à bout, a fini par se rapprocher de la Commission de protection des données personnelles (Cdp). Et c’était pour signaler des menaces proférées contre elle.
Les menaces portaient sur la divulgation sur Internet et les réseaux sociaux de vidéos compromettantes. La Cdp jouant sa partition, comme le lui permet la loi, dit avoir « appelé la personne mise en cause qui a d’abord nié les faits avant d’avouer qu’elle ne détenait pas de vidéos. Pour clôturer le dossier, il a été rappelé à l’auteur des menaces le caractère délictuel de son acte et les sanctions prévues par la loi ».