Se sentant frustrer par un papier en ligne qui la décrit comme une fille qui singe ces paires de Grand Yoff, GUigui et Déesse major, Dieyna qui n’a pas sa langue dans sa poche a réagit, estimant qu’elle était déjà là, avec son style avant la percée de celles qu’elle décrit comme ses sœurs. En effet, s’appuyant sur son teint ébéne et ses qualités vocales, elle explique avoir fait du chemin pour en arriver là, mais rejette toute idée de mimétisme