Le conseiller technique du président de la République est très remonté contre les attaques récurrentes à l’encontre de la première Dame du Sénégal, Marième Faye Sall.
Diamé Diouf qui ne pouvait plus garder le silence, s’est fendu d’un communiqué en ces termes, « Au nom de la cause sociale, laissez la première Dame tranquille. Je constate pour le regretter que depuis un certain temps des rumeurs et des accusations se multiplient à l’encontre de Marième Faye Sall, première Dame du Sénégal. Des allégations non fondées sur des preuves essayant de démontrer par des arguments tirés par les cheveux que la première Dame serait derrière la non reconduction de Monsieur Abdoul Aziz Tall au poste de ministre en charge du suivi du Pse. Dans le même ordre d’idée, une rumeur laisse entendre que Madame Thérèse Faye Diouf, directrice de la case des tout petits était pressentie au poste de ministre de la jeunesse mais, c’est la première Dame qui aurait opposé son veto. Enfin, une autre rumeur fait croire que l’ancien président Wade n’a pas voulu la recevoir le jour de la Tabaski. Toutes ces attaques sont sans fondement », a regretté le responsable politique de la commune de Thiomby (Département de Kaolack).
S’attaquant pour sa part aux détracteurs de l’épouse du président de la République, le conseiller technique de marteler « ces attaques synchronisées participent à une entreprise de dénigrement dont la première Dame fait l’objet, mais cela ne passera pas. Je fais partie des personnes qui pensent que Marième Faye Sall est le symbole de la cause sociale. Donc, ceux qui font de telles déclarations doivent savoir raison garder. »
« Les populations qui sont victimes d’inondations et bénéficient de son soutien, les malades qui bénéficient de son assistance, les personnes démunies qui bénéficient de son secours, les cas sociaux qui poursuivent leurs études grâce à son aide… savent que la première Dame est sincère et très déterminée dans ce qu’elle fait et le fait bien. Je dis donc à ces personnes de bien vouloir la laisser tranquille, Bayyi Leen Jambuur », a conclu Diamé Diouf qui a d’ailleurs invité Philipe Néricault dans son discours : « La critique est aisée, mais l’art est difficile… »
