Le gouvernement divise t-il pour mieux régner dans la gestions des dettes dues aux écoles privées? En effet nous avons appris que le ministre Mary Tew Niane, a reçu en catimini, certains chefs d’établissements. Denise d’ERNEVILLE, qui n’a pas sa langue dans sa poche, a tiré sur la Fédération des établissements privés d’enseignement supérieur (Fepes). Pour l’administrateur de l’’ETSHOS-IMED, cette démarche va forcement fragiliser leur association.
« A travers ce compte rendu n’êtes-vous pas en train de confirmer les rumeurs et de décrédibiliser la FEPES ? A mon avis tout cela nous éloigne du sens du combat que je mène depuis le mois de JANVIER et pour lequel je demeure toujours claire et constante, parce que vivant les conséquences de la nébuleuse qui entoure les orientations de bacheliers dans le privé. On désorganise nos structures, on nous met sur la paille et VOUS, vous les absolvez ? Réellement nos situations ne sont pas les mêmes », dénonce Denise d’ERNEVILLE.
Isabelle d’ERNEVILLE, membre de la Commission, Marketing et communication de la FEPES, demande aux membres de la FEPES à l’union des forces pour faire face. « Nous devons rester soudés, je suis d’accord avec toi Abass que des RUMEURS et j’ajoute même, des ragots, des colportages ou des médisances il n’y en aura pas si les démarches de la FEPES sont claires de façon à ce que ses membres s’y retrouvent.
Pour terminer, et là je donne ma contribution : la FEPES est une association et non un syndicat, son rôle n’est donc pas de collecter des factures, chaque établissement libre et responsable est capable de tenir sa comptabilité. Aucun intermédiaire ne se saurait jouer ce rôle. Mais que donc veut-on nous faire faire là ? »
Mme. d’Erneville pense que le ministre de l’Enseignement Supérieur doit clarifier en publiant un tableau descriptif COMPLET de la traçabilité des orientations depuis 2012 (nombre de bachelIers orientés institut par institut, le nombre total de bacheliers, le nombre des orientés dans les universités publiques (faculté par faculté etc….). « La comptabilité c’est la précision et non de l’approximation. Il faut faire la balance pour obtenir le montant réel de la dette : TRANSPARENCE SIMPLEMENT. On commence à se renvoyer la balle (Mesri et Mef). Leur guéguerre de positionnement ne saurait nous concerner, ni nous prendre en otage. »
Selon nos informations, le Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation a reçu le mardi 20 Février 2018 à son ministère les responsables des organisations regroupant les EPES que sont la CGE, la CEPES et la FEPES en présence du Directeur Général de l’Enseignement Supérieur et du Directeur de l’Enseignement Supérieur Privé.